Le livre noir du communisme

Lors de la journée nationale de la libération du 27 mai 2017, Michèle Picard maire communiste de Vénissieux, nous a fait un discours fort long, mais très intéressant sur le plan historique.

Je partage ses premières phrases ou elle déclare : 

Cette journée nationale de la Résistance est là, pour nous rappeler qu’il y a dans nos libertés actuelles, le legs des combats et du courage de nos aînés, hommes et femmes confondus. L’entrée en résistance dépasse les questions partisanes, elle surgit comme une force de vie, un rite de passage. Résister c’est aussi prendre les choses en main, c’est bousculer l’ordre établi, grandir et mûrir au contact des autres et du danger. N’oublions pas ces hommes et ces femmes qui ont bâti nos libertés.

Oui, il faut se rappeler de tous ces combats pour la liberté et il est tout aussi primordial de résister et de se battre afin de préserver nos libertés qui ne sont pas négociables.

Certes les allemands n’était pas tous  nazis, et les soviétiques n’étaient pas tous des tortionnaires, puisque le peuple russe a chère payer son engagement pour la liberté en combattant les forces allemandes nazis. (entre 8 800 000 à 10 700 00 de militaires morts; et entre 12 000 000 à 14 000 000 de morts civils)

Mais il ne faut pas aussi oublier des victimes des régimes communistes. En 1997 est parue Le livre noir du communisme ouvrage rédigé par un collectif d’universitaires qui dresse un bilan de ces anciens régimes communistes totalitaires et meurtriers.

Sur 840 pages le livre décrit les crimes commis par les États dont les dirigeants se sont revendiqués du communisme : États léninistes ou « marxiste-léninistes »

Et la liste est longue et les morts se comptent par millions. :

  • URSS : Staline symbole de la nature meurtrière et concentrationnaire. 
  • Chine : Mao, célèbre pour les famines qui ont ravagé la Chine.
  • Cambodge : Pol-Pot, responsable du génocide mené par les Khmers Rouges.

Mais selon le site AgoraVox certains pays pro capitalistes ont eux aussi leur victimes de la répression de leurs dirigeants, tel que :

  • Brésil, 1964 et Zimbabwe, 1991 : l’hécatombe maoïste version FMI
  • l’Indonésie 1965 : le stalinisme pro-américain 
  • Timor Oriental, 1975 : les Khmers Rouges armés par Washington

Certes l’historique de ces pays sont moins connus par le citoyen lambda, mais on ne peut pas ignorer les millions de morts des régimes communistes d’antan. 

Tout cela est derrière nous, mais fait partie de l’histoire de l’humanité qu’il ne faut pas occulter et le faire rappeler si nécessaire.

 

2 Commentaires

  1. Le « livre noir » est en réalité un fake « historique » qui consiste à inverser les causes et les effets. Sauf dans le cas de Mao: en 1958, la récolte potentielle en Chine était excellente et Mao l’a délibérément laissé perdre pour lancer son « grand bond en avant »… Mais le principal auteur du livre, Stéphane COURTOIS, devrait savoir de quoi il parle: il était lui-même maoïste…! Nicolas WERTH, autre professionnel de l’anticommunisme, quant à lui, est plus circonspect: à la même époque, il était trotskyste… Et de plus, il comprend le russe, ce qui n’est pas le cas de COURTOIS, pourtant supposé « expert » en histoire de l’URSS…

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