A l’occasion d’un article publié dans Le Progrès concernant les maires, en date du 29 septembre et intitulé « Agressés, menacés, insultés: les maires du Rhône témoignent », Michèle Picard, maire communiste de Vénissieux, a été interviewée. Bon déjà je me demande comment le choix des maires a été fait pour cette enquête qui évoque les menaces que pourraient recevoir les maires des communes du Rhône.
Et dans cette article, on apprend que notre maire, n’a pas l’intention d’abdiquer, d’ailleurs elle se présente une fois de plus, aux élections municipales de 2020 et annonce être tête de liste pour la Métropole. Ben voyons, autant cumuler les candidatures car notre maire entend bien garder le cap de sa politique, puisqu’elle a déclaré que « quand on mène un projet, c’est à long terme, sur vingt ans » Ah non, pas vingt ans, car en cas de victoire, on va sur un siècle de gestion communiste sur Vénissieux.
Pour en revenir aux agressions, insultes et menaces, l’élue communiste ne s’est jamais sentie en insécurité, mais pense aux agents de la ville qui sont confrontés aux incivilités et autres actes violents. C’est sur que du haut de son 9ème étage, elle n’est pas aux premières loges par rapport à ce que subit une partie de la population vénissiane,
Mais en lisant l’article on a tendance à penser que notre maire se méfie plutôt des réseaux sociaux, et elle n’est pas tendre, car selon elle, les filtres n’existent pas, que souvent des raccourcis sont faits, et que désinformation et insulte sont propagés. C’est tout juste si elle ne parle pas de réseaux délétère. On imagine qu’elle a quelques noms de pages et site internet en tête, mais chut, faut pas le dire.
En tout cas, ce que l’on peut prévoir, c’est que lors de la campagne électorale, le mot délétère va souvent être citée par la première magistrate de la ville.
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