Décidément la série « La Sacoviv et son directeur » est loin d’être terminée. Aus dernières infos du Progrès, le directeur est toujours en place alors que Mme Ebersviller a présenté aux employés et aux locataires le nouveau directeur Mr Santier. Mr Guyard déclare qu’il est toujours en poste, ce qui a été confirmé par un certain nombre d’employé, la preuve Mr Le directeur prend toujours des décisions, et son droit, puisque le conseil d’administration ne l’a pas encore licencié. Un licenciement qui devait se faire en douceur et cela n’a pas l’air d’être le cas. La preuve, ce n’est plus au sein de la mairie que les décisions se prennent mais ce sont les avocats des deux parties qui sont chargés de régler ce litige et trouver le meilleur compromis. Encore des sous qui vont être gaspillé. Mr Guyard n’est pas un ange, et on a l’impression que c’est lui qui mène le jeu, Picard et Ebersviller ne gèrent plus rien, elles sont complètement à la dérive, sinon elles n’auraient pas fait appel à un avocat, de plus le directeur prouve qu’il dirige toujours et le démontre en convoquant encore pour des entretiens « disciplinaires » des personnels de la Sacoviv (un a été reçu le 4 juillet et un autre est prévu pour le 16 juillet prochain : voir le blog de Mr Girard en cliquant ICI). Pour se défendre Mme Ebersviller attaque les propos de Mr Girard qui d’après elle ne permet pas de retrouver une certaine sérénité. Mais non de diou (comme dirait l’autre) que fait cette incapable directrice, que fait cette incapable Mme Picard pour régler une fois pour toute ce dossier, les locataires et les employés de la Sacoviv veulent voir partir Mr Guyard et maintenant c’est une bataille entre avocat qui s’est engagé.
C’est normal qu’il se défende, la loi est pour tous et même pour lui. La vrai question est:
– a t il fait le travail qu’on lui demandait et ce pourquoi il était payé ?
Si oui essayer de virer un mec comme cela !!! impossible
3 possibilités pour se séparer de lui.
Pour faute: il faut monté un dossier béton pour les prud’hommes (difficile avec les propos d’Ebersviller qui l’a encenser il y a encore 2 mois).
A l’amiable (faute pour cause réelle et serieuse): oui mais cela a un coût !!!
La prise d’acte: alors là, la sacoviv va mangé !! (pour info c’est le salarié qui licencie son patron pour non respect du contrat de travail).
Bonne chance Mme Ebersviller