Les tribulations judiciaires ne semblent pas être terminées à Vénissieux entre un conseiller municipal de l’opposition et la majorité actuelle. Sur un post FaceBook de M Benmoussa Farid, l’opposant sans étiquette, dénonce une fois de plus la préemption d’un local qu’il comptait acquérir pour l’installation d’un cabinet d’infirmier, ou éventuellement la venue d’un médecin généraliste.
Sur cette préemption, on se demande ce que font les autres élus de l’opposition, qui pour certains ne se sont jamais exprimés sur cette affaire. Une opposition molle, qui ne pense qu’à lire des textes lors des conseils municipaux, mais incapable de se prononcer en dehors de ce contexte
Cette préemption a été suspendue par le tribunal mais à l’heure actuelle, le conseiller municipal ne peut toujours pas en prendre possession.
Lors d’une vidéo sur sa page FaceBook, M Benmoussa, sur un ton ironique, déclare que le panda coléreux est sorti de sa tanière. Après avoir cassé son plan épargne pour faire face aux dépenses judiciaires, il prévoit, une fois qu’il aura consulté son avocat, de nouvelles plaintes envers quelques personnes.
Le feuilleton judiciaire ne semble pas être terminé sur la commune
Bizarre le conflit de cet élu . A-t-il le droit en étant élu de préempter ? Il me semble qu’il avance en terrain miné pour lui ; il devrait être plus prudent .
Il y a quelques années, en 2018 il me semble, le conseil municipal a voté une délibération avec une zone de préemption sur le centre de Vénissieux. Aujourd’hui, par cet arrêté, c’est la métropole qui a préempte le local, avec l’accord de la municipalité donc de l’adjoint en charge de la délégation des commerces