Il était un peu moins de deux heures du matin, dans la nuit de jeudi 19 octobre à vendredi 20 octobre, lorsque de puissantes détonations ont déchiré le silence de l’est lyonnais. La tranquillité de Vénissieux, sur l’avenue Maurice-Thorez, a été brusquement perturbée par une fusillade, les détails exacts de l’incident restant encore à établir.
Les forces de secours dépêchées sur les lieux ont rapidement découvert trois victimes blessées par balles, plongeant les habitants dans la perplexité. L’un des blessés était dans un état critique, nécessitant une évacuation en urgence absolue vers l’hôpital, tandis que les deux autres ont été pris en charge en urgence relative. Toutes les victimes avaient environ une trentaine d’années, selon plusieurs articles de la presse locale.
Une enquête approfondie a été immédiatement déclenchée par les autorités policières lyonnaises afin de faire la lumière sur les circonstances entourant cette fusillade. C’est la police judiciaire qui a été chargée de mener les investigations, afin de déterminer précisément ce qui s’est passé durant cette nuit agitée dans une zone déjà connue pour être le théâtre de trafics de drogues et de violence.
Vénissieux avait déjà été le témoin de plusieurs actes de violence armée au cours des derniers mois. En mai, un adolescent de 16 ans avait été gravement blessé par des tirs, suivi d’une autre fusillade en juin qui avait fait deux victimes, dont l’une était dans un état grave. Enfin, à la fin du mois de juillet de la même année, un homme avait été touché par balle boulevard Ambroise Croizat. Ces événements avaient déjà secoué les habitants du quartier et avaient suscité des inquiétudes quant à la sécurité dans cette région.
Alors que la municipalité entame sa tournée pour les assemblées générales de quartier, une fois de plus cette fusillade à Vénissieux ajoute un nouvel élément à cette série d’incidents inquiétants.
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