Ces derniers temps, la presse lyonnaise, ainsi que les blogs vénissian et page FaceBook ont relaté les événements qui ont eu lieu ces derniers jours. De nombreux articles ont rempli les colonnes des journaux tels que LyonMag, LyonCapitale, ou Le Progrès, mais aucun article dans notre journal « Expressions, les nouvelles de Vénissieux ». Leur slogan est à revoir, car en termes de nouvelles de vénissieux ils n’ont pas trop réactif.
Mais le plus surprenant est le silences des élus de la majorité, en première position, Michèle Picard, maire communiste de Vénissieux, qui s’est exprimé dans Le Progrès, mais aucun communiqué sur son site internet, ni à priori de communiqué de presse et semble aucune présence sur le terrain, mais elle n’est pas la seule puisque, les adjoints de quartier qui sont au nombre de trois au conseil municipal vénissian sont tout autant aphone.
Mais les élus de l’opposition n’ont pas tardé à réagir, et le premier fût M. Girard qui a transmis un communiqué à la presse, mais ne l’a pas publié, à ce jour, sur son site internet.
Idem, pour M. Benkhélifa (PS) et du groupe des élus socialistes et républicains, qui lui a eu droit à un article dans LyonCapitale. Le groupe des élus socialistes et républicains Ensemble pour Vénissieux dénonce un silence « assourdissant » et « d’« »de la part de la maire.
Pour la suppression des emplois aidés, la maire communiste de Vénissieux, n’a pas hésité à prendre sa plume pour écrire au premier ministre Edouard Philippe, mais le fera t-elle pour demander plus de moyens, ou que Vénissieux puisse faire partie des sites pilotes pour tester le dispositif de police du quotidien mis en place par le ministre de l’Intérieur comme l’a demandé Alexandre Vincendet (LR) etmaire de Rilleux. Enfin c’est ce que réclame, le groupe des élus socialistes et républicains, composé des conseillers municipaux, Lotfi Benkhelifa, Pascal Dureau et Anne-Cécile Groléas (LREM).
En tout cas, le groupe des élus socialistes et républicains a précisé que « s‘il faut interpeller Collomb, on le fera ». Virutellement l’élu socialiste se verrait bien à la place du maire pour gérer la sécurité à Vénissieux.
Il pourrait même reprendre l’exclamation « je veux devenir calife à la place du calife ! » qui est un grand classique de la bande dessinée et qui a été prononcée par l’antihéros Iznogoud, créé par Goscinny et Tabary.
Lire l’intégralité de l’article de LyonCapitale → Délinquance à Vénissieux: l’opposition déplore le silence de la mairie
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