Un éditorial signé par Farid Benmousa et publié récemment sur LyonMag met en lumière les inquiétudes liées aux décisions écologistes, en mettant particulièrement l’accent sur les problèmes respiratoires et la présence de la chaufferie à bois à Vénissieux.
L’auteur, également conseiller municipal d’opposition à Vénisiseux, exprime le désintérêt face à des actions comme le démontage de McDo par des activistes, mais rapidement, il aborde les conséquences des premières décisions écologistes, qualifiant le développement des chaufferies à bois, parfois en plein centre-ville mais surtout chez les moins fortunés de Vénissieux et Givors, comme l’une des pires.
Farid Benmousa cite une émission d’Hugo Clément pour expliquer que le charbon lui-même est considéré comme moins polluant, mais souligne le caractère dangereux de la disposition des cheminées à seulement 200 mètres des fenêtres, créant ainsi un nuage toxique directement dans les habitations de nombreuses familles.
L’auteur pointe également du doigt le ballet continu des camions diesel déversant des extraits d’huiles de palme et des palettes chinoises, contribuant ainsi à rendre la vie quotidienne des habitants plus difficile. Selon l’élu sans étiquettes, à Vénissieux, les maladies respiratoires sont rapportées comme étant 45% plus nombreuses qu’en centre-ville, et la proximité du couloir de la chimie aggrave encore la situation.
Farid Benmousa critique le comportement sectaire des écologistes, les accusant de créer des problèmes pour l’ensemble de la population, en particulier pour les plus démunis en périphérie. Il conclut en mettant en avant les difficultés quotidiennes des Grands Lyonnais face à ces choix politiques, soulignant la nécessité d’actions immédiates pour préserver la santé et le bien-être de tous, en particulier des résidents des zones périphériques.
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