Vous pensez que les Fêtes Escales ce n’est que de la musique, moi aussi. Et bien non, il y a aussi de la littérature et de l’art plastique. Franchement, je ne vois pas le rapport mais bon, il parait qu’il y en a un. Alors quel rapport entre les deux. Et bien ce dimanche, l’artiste plasticien sud-africain accompagné de Mme Picard et à mon avis de tout un cortège d’élus et d’amoureux de la culture, se retrouveront à l’angle de l’avenue Pierre-Semard et de la rue Eugène-Maréchal, pour inaugurer la fresque de cet artiste.
Mais ce n’est pas fini, ensuite tout ce beau monde se dirigera au parc Louis Dupic pour découvrir une exposition des œuvres de Bruce Clarke suivie d’une séance de dédicace, organisée par « La passe du vent » et l’espace « Pandora« à 18h45, du livre d’entretien de Michèle Picard « Alors, maintenant, que la lutte soit belle… « , paru en 2012. L’illustration du livre a été faite par l’artiste Bruce Clarke.
J’espère que tous les participants à cette inauguration, n’utiliseront pas leur véhicule et iront à pied pour se rendre au parc Louis Dupic, cela leur permettra de visiter notre si belle ville 🙂
A la fin de ce livre, on peut y retrouver un questionnaire ou Michèle Picard dévoile ses qualités et ses défauts.
On apprend que pour l’habillement, elle préfère « le noir » (heu, on l’avait constaté) et « toutes les couleurs pour la décoration« . Qu’elle considère « son côté direct » comme un défaut. Qu’elle aime « peindre et fabriquer » et que le principal trait de son caractère est « la réactivité« .
Vous voulez en savoir un peu plus, il suffit de lire le livre que vous trouverez certainement à la médiathèque de Vénissieux.
La fresque a été réalisée sur mur d’enceinte du Centre technique municipal
Bruce Clarke était en résidence à Vénissieux, du 15 juin au 15 juillet 2015, en lien avec l’association Bizarre, il a réalisé une oeuvre sur un mur ce 120 m².
Biographie : Bruce Clarke, natif de Grande-Bretagne, s’installe très rapidement en France après ses études aux Beaux Arts. Son travail plastique traite de l’histoire contemporaine, de l’écriture et de la transmission de cette histoire. Il souhaite que sa peinture stimule une réflexion sur le monde contemporain et la représentation qu’on en fait. Il vit aujourd’hui en région parisienne où est installé son atelier.
Les préférences vestimentaires de madame Picard n’apportent rien aux Vénissians ainsi que ses défauts et qualités. Sa gestion de la ville seule nous importe
. Alors au boulot, des indemnités de près de 8000 euros doivent se justifiées par un travail irréprochable et dans l’intérêt des Vénissians. Écrire des livres……peut être mais surtout mettre à jour le site internet de la ville et vérifier le travail du sitiv