Vente de véhicules de la ville : l’enquête des Potins d’Angèle

Une fois de plus je dois encore parler de la vente de véhicules de la ville de Vénissieux puisque l’enquête du journal satirique les potins d’Angèle révèle une information que l’on peut considérer comme troublante et qui incite à nous poser des questions sur la gestion de ce dossier par les services de la ville.

Un exemple donné par le journal concerne une Clio datant de 2005 et vendue 200 euros à la société SOVELIS. Ce véhicule est passé positivement au contrôle technique en Août 2016, et malgré tout elle a été mise au rebut, en octobre 2016, par les services de maintenance du parc automobile de la ville de Vénissieux et à donc fait partie du lot partant à l’équarrissage, comme le précise le journal.

Toujours selon le journal satirique, cette petite clio a retrouvé une jeunesse en passant par le garage Autopole qui en passant est celui qui entretenait régulièrement les véhicules de la ville.

Autre chose troublante concernant ce véhicule, qui a finalement trouvé un acheteur, et le monde est tellement petit, et ce n’est bien là qu’une coïncidence, l’acheteur en question se trouve être le responsable du service maintenance des véhicules de la ville de Vénissieux et qui a pris sa retraite début 2017. Pourtant cette voiture, pas si vieille que çà, avait été déclaré, selon le journal « en état de mort clinique »

Mais la société Sovélis qui a fait l’acquisition du lot de 14 véhicules vendues pour un montant total de 2 500 euros explique que ce n’est pas une bonne affaire, qu’elle a réalisé un peu de marge sur certains véhicules, mais que d’autres lui restent sous les bras.

Vous en conviendrez que tout ceci n’est pas clair, et la première magistrate ne veut toujours pas répondre aux sollicitations des journalistes ce qui fait dire au journal satirique :

La vente de véhicules par la ville de Vénissieux semble avoir suscité un certain émoi parmi l’équipe municipale. Pas au point de répondre aux questions qu’on aurait bien aimé poser. 

Maintenant, que penser de tout çà ?. On attend avec impatience les explications de Michèle Picard, qui en tant que première magistrate de la ville, est responsable de ce qui se passe dans ses services.

 

 

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