« Ordre de la Nation » pour Yassine Zobiri

Yassine ZoubiriJ’ai décidé d’écrire ce premier article de l’année en hommage à Yassine Zobiri, policier municipal de Vénissieux décédé en effectuant son devoir.

La Citation à l’ordre de la Nation est, en France, un titre de reconnaissance créé en 1917 par le président Raymond Poincaré pour : « Services ou actes de dévouements exceptionnels, accomplis pour la France au péril de la vie, soit à titre civil, soit à titre militaire […] « 

De nos jours, les policiers, gendarmes, pompiers morts en service « victimes du devoir » sont en principe cités à l’ordre de la Nation.

Le 5 novembre 2014, les deux policiers municipaux pourchassaient un automobiliste qui avait refusé d’obtempérer à un contrôle, suite à cet accident, Yassine Zobiri fonctionnaire de 30 ans, avait été tué dans la collision, son collègue avait été lourdement blessé.

A ce titre le policier municipal a été cité à l’Ordre de la Nation, parue dans le journal officiel n°0300 du 28 décembre 2014 page 22762 texte n° 85 (lien)

Cette information a été diffusée dans le Progrès du jeudi 01 janvier 2015, et au moment de la publication de mon article,  le blog « Expressions » n’a pas relayé l’info.

Mais ne polémiquons pas, je pense qu’elle sera bientôt publiée. 

7 Commentaires

  1. Pas un jour ne passe sans que je ne pense à Yassine…
    Même si je ne le voyais pas, je savais qu’il était là, vivant, heureux et en bonne santé…
    Il nous a quitté en voulant faire une bonne action car c’était sa quête…que Dieu le récompense…
    La séparation est dure pour ceux qui restent et continuent malgré tout à vivre sans lui, mais Yassine est en paix aujourd’hui…
    que Dieu renforce sa famille dans cette épreuve. Allah y rahmo.
    Une soeur qui pense à vous.Salem.

  2. j’espère que cet acte aura un jugement exemplaire pour que ces délinquants de la route puissent prendre conscience de leurs comportement qui a détruit tout une famille.

  3. on vit en attendant un retour de la justice, et la douleur que seul ces proches peuvent la comprendre
    on donne sa vie, il est mort et voilà.
    On ne pense pas à la souffrance de ces proches qui sont en attentent et qui n’arrivent pas à faire le deuil.

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