L’adjoint maire, condamné en 2018, soutient Michèle Picard

La gauche républicaine et socialiste, a pris la décision de soutenir Michèle Picard, candidate communiste à l’élection municipale. Le seul élu de la majorité de ce groupe est Thierry Vignaud étiqueté MRC 12ème adjoint  à l’Etat-civil, aux Elections et aux Cimetières. 

Donc, après le soutien de Idir Boumertit (France Insoumise), de Djilannie BenMabrouk, du PRG (Nadia Chick) qui approuvent la politique menée par Mme Picard, voici que l’élu MRC décide donc aussi de soutenir la candidate communiste, et ce groupe a décidé de s’en prendre à M Blein, qui selon eux, est favorable à « une politique gouvernementale dont le but est le démantèlement du modèle social français ». 

M. Vignaud semble avoir oublié qu’il a été condamné en 2018 à six mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, avec obligation d’indemniser des victimes qui sont le personnel de l’établissement et les fonctionnaires de police. La serveuse agressée a été indemnisée à hauteur de 1000 euros, son collègue à 700 euros et les deux fonctionnaires de police à hauteur de 250 euros., et ceci pour des faits violents puisqu’il a saccagé un établissement de la place Ambroise Courtois dans le 8e arrondissement de Lyon et violenté son personnel ainsi que des agents de police. D’autant plus que l’élu vénissian âgé de 55 ans était prêt ce jour là, à donner 500 euros pour que l’établissement n’appelle pas la police d’après la lecture des faits de la juge. 

Le GRS ( gauche républicaine et socialiste) et non pas gymnastique rythmique et sportive déclare que M. Blein en se présentant sur Vénissieux, fait acte d’arrogance et d’un certains mépris envers les feyzinois et les vénissians, mais à priori cela ne gêne nullement Mme Picard, qu’un élu de la république condamné à de la prison avec sursis, reste encore adjoint et soutient sa candidature. Et bien on peut tout aussi dire que c’est aussi de l’arrogance et du mépris pour les vénissians. 

Il faut rappeler, que M Vignaud avait présenté sa démission à Michèle Picard, mais la première magistrate de la ville avait refusé en lui demandant un temps de réflexion, à priori, ce temps là, n’est plus d’actualité puisqu’il est toujours élu à la ville de Vénissieux. 

Je me demande ce que vont penser les vénissians en sachant qu’un élu de la République, même si aucune sanction n’a été prononcée à l’égard de son mandat d’élu, est toujours adjoint à la ville alors qu’il a été une personne reconnue agressive, et violente au moment des faits.

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