Le million pour la Sacoviv

Dans le quartier Max Barel, un chantier est en cours pour l’aménagement de l’espace extérieur. D’un coût de 1.2 millions d’euros financé par le Grand Lyon, la Région, la Ville et l’Etat. Tout ce petit monde a décidé d’investir dans ce chantier qui ne fait pas l’unanimité chez les locataires de ce quartier. La Sacoviv s’est engagé qu’il n’y aura pas d’augmentation de loyer, est-ce un engagement écrit ou oral ? Concernant les travaux Mr Guyard ne comprend pas les critiques, çà c’est certain surtout qu’il n’habite pas dans ce genre de quartier. Bref, encore une fois on voit le manque de concertation et de transparence de la part des dirigeants de la Sacoviv, le leitmotiv est le même

1 On fait le projet

2 on se concerte avec les locataires

3 on fait ce que l’on a décidé

4 on ne prends pas en compte les doléances des locataires

5 c’est qui nous décidons

C’est ainsi que ce comporte la plupart des bailleurs et des élus de notre chère ville.

A ce titre un petit comité d’habitants ont décidé de créer un blog afin de recueillir et d’informer les locataires (http://amilocmaxbarel.blogspot.com/).

3 Commentaires

  1. Vous avez raison de relever cet aberration de la municipalité. Un sujet de plus qui m’a valu des hurlements au Conseil Municipal du 2 mai 2011. Je suis heureux de voir que je ne suis pas seul à crier dans le désert ! Bravo pour la toile (web) qui se tisse pour faire connaître la vérité aux vénissians.
    Pour mémoire : SACOVIV : Comble de l’hypocrisie ! (SACOVIV : Comble de l’hypocrisie !) et Projet Résidence Max Barel : un vote malgré l’absence de concertation réelle avec les habitants (Projet Résidence Max Barel : un vote malgré l’absence de concertation réelle avec les habitants)
    Bien cordialement,
    CG

  2. Pourquoi laisser prendre en charge la gestion des quartier par les habitants eux meme
    et non un modèle municipal dirigiste ne tenant pas compte des aspirations du terrain
    et en constante évolution.
    Prenons en exemple le T.O.P, aujourd’huis inefficace a cause de sa structure lourde et
    ses objectifs initiaux, il ne s’adapte pas et est figé. C’est le cas aussi des E.P.J, des structures
    d’ assistanat qui ne se préoccupent pas de l’ évolution du jeune » dans son insertion.
    Sans parler de l’ intergenerationnel dans la transmission des savoir qui fait défaut.
    Messieurs les politiques,arretez de prendre vos populations au rabais, ils
    méritent mieux,à l’ exemple du modèle marocain,peut etre à suivre.

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