En 2011, Manuel Valls, s’était présenté à la primaire socialiste pour la présidentielle 2012. et c’est à cette même période qu’il était venu rendre visite et apporter son soutien aux salariés de Véninov située à Vénissieux car la société avait fait l’objet d’une liquidation judiciaire, avec 87 licenciements à la clé.
L’actuel premier ministre avait même déclaré :
Le débat sur l’emploi et l’industrie est fondamental pour notre pays. La manière dont se sont passées les choses à Veninov est insupportable. On peut considérer qu’une entreprise puisse disparaître lorsqu’elle connaît, depuis longtemps, des moments difficiles. Mais une entreprise qui a des carnets de commandes pleins, un savoir-faire unique ; quand en plus se rajoute une escroquerie manifeste… c’est plus qu’un gâchis, c’est un vol !”
Mais aujourd’hui selon l’article du Progrès le constat est amer pour les salariés de l’entreprise Véninov du groupe Alkor-Venilia installée sur le territoire de la commune depuis 1874, et qui est spécialisée dans la toile cirée, puisque une vingtaine de personnes y travaillent actuellement alors que 50 à 80 emplois avaient été initialement annoncés et toujours selon l’article du Progrès, le repreneur devrait prochainement stopper le petit volet « production » et souhaite vendre une partie des six hectares du site.
André Gerin, et Michèle Picard, actuelle maire communiste de Vénissieux, ont toujours été présent pour soutenir les salariés et plusieurs actions avaient été menées en solidarité aux salariés de l’entreprise.
Plus d’informations dans l’édition du jeudi 25 février 2016 ou pour les éditions abonnées en ligne → Le Progrès.
Article de Expressions du 02 juin 2015 → Que devient Véninov
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