Lors de ses voeux 2017 à la presse lyonnaise, Michèle Picard, maire communiste de Vénissieux avait déclaré :
Sachez en tout cas que nous avons besoin de votre présence à Vénissieux, du récit, critique ou pas, que vous entretenez au quotidien, et du vivre ensemble auquel, vous aussi, vous contribuez.
Et bien on peut dire que les journalistes se sont mis au boulot et plusieurs journaux ont évoqué l’affaire de la vente de véhicules de la Ville, à la société vénissiane Sovélis pour un montant total de 2 500 € avec un prix de vente qui varie entre 150 et 600 €
- Peugeot 106 D Année 2000
- Renault Master année 1996 et 2000
- Renault Scénic de 2003
- Renault Clio de 2005
- Six scooters Peugeot de l’année 1999
Selon la ville certains de ces véhicules étaient considérés comme épaves. Le marché étant inférieur à 25 000 €, la ville n’a pas obligation de passer par un appel d’offre.
Donc, les journalistes de SaladeLyonnaise ont publié un article suivi de LesPotinsdAngele avec comme titre Vénissieux : Michèle Picard brade les voitures de la mairie et ce dimanche 15 janviers 2017 c’est au tour du journal Le Progrès de sortir un article dont le titre est : Flotte automobile de la Ville : une vente d’épaves controversées.
Michèle Picard, maire de Vénissieux, ne s’est pas encore exprimée et elle a encore quelques semaines pour répondre au courrier du groupe des élus socialistes et républicains. Dans le cas contraire, M. Benkhélifa se réserve le droit, de poursuivre son action afin d’annuler cette délibération. Si malgré tout, le conseiller municipal ne reçoit aucune explication, le conseil municipal du 31 janvier 2017 risque d’être houleux.
Petite anectode, vous remarquerez que sur cette capture d’écran en date du 15 janvier, on peut constater que du point de vue des dates, l’ordre chronologique n’est pas respecté 😀
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