Arrêté anti explusion, à chaque fois Mr Gerin à son époque et maintenant Mme Picard avaient souhaité protester via des arrêtés contre les expulsions locatives. Et à chaque fois le tribunal administratif de Lyon a jugé le maire incompétent en la matière. Alors arrêté anti-explusion ou simple démagogie. Car Mme Le Maire sait très bien que tous ses arrêtés seront annulés par le tribunal. Donc au lieu de persisté dans une démarche négative, elle ferait mieux, avec son équipe d’avocat de trouver une autre solution afin que les personnes qui rencontrent des problèmes de paiement de loyer, puissent vivre sereinement.
Elle a le droit, et c’est normal d’être indignée par les expulsions, mais faire croire aux gens que le fait de déposer un arrêté suffira à suspendre l’expulsion, est un leurre, c’est inefficace et ne règle en rien le problème.
Ceci n’est que pire hypocrisie et je considère que c’est une instrumentalisation de la misère, oh les communistes de notre ville, savent très bien le faire (oup on va encore me traiter d’anti communisme primaire).
Il faut que les équipes de Mme le Maire ainsi que son adjoint au logement, tiens donc c’est Pierre Alain Millet, devraient travailler en concertation avec tous les services administratifs, sociaux et les bailleurs afin d’éviter à ses familles de tomber dans l’illégalité.
Alors Mme Le Maire, cessez donc vos gesticulations avec ses arrêtés complètement inutiles et qui ne facilitent pas les familles en désarroi total.
bonjour.J’espere guillaume que ce partenariat sera suivi par les bailleurs et la mairie . Cela permettrait d’eviter des retards de loyers de plusieurs mois . Aider les personnes avant que la dette ne devienne plus gerable pour le locataire. Pour les arrêtés je trouve cela « démago » . La bataille doit se faire en amont , je croisent les doigts pour la réussite de ce projet .
La mairie fonctionne en collaboration avec les militants de l »association « Réseau d’alerte et de solidarité de Vénissieux » ainsi qu’avec les bailleurs pour prévenir en amont les expulsions. Elle sert de médiateur pour trouver un règlement à l’amiable. Cependant même si les mentalités évoluent petit à petit du côté des bailleurs, la mairie ou les associations sont souvent prévenues trop tardivement. Certaines familles ne voulant pas exposer leur problème se murent dans le silence et n’osent pas demander une aide extérieure. Et oui les bailleurs ne sont pas tenus de prévenir la mairie quand une expulsion est en cours sur son territoire. Cela ne facilite donc pas la tâche. Mais cela va peut être changer car la mairie devrait réussir à établir des « partenariats » avec certains bailleurs pour qu’ils la préviennent le plus tôt possible. Et quand les problèmes sont traités à temps, l’expulsion peut être évitée dans la plus part des cas (étalement de la dette si possible, étude des aides possibles, relogement dans moins cher etc…). C’est quand même mieux que de mettre des familles à la rue sans savoir où elles vont dormir le soir ni les jours d’après. Même les bailleurs peuvent y trouver leur compte puisqu’ils ont plus de chance de ne pas se retrouver avec une dette impayée ni une facture d’huissier et d’expulsion à leur charge.
Finalement, Mme Picard doit être assez contente qu’il y ait des expulsions. Sinon, on ne parlerait pas d’elle et de son arrêté!
Je prends des arrêtés, ça ne mange pas de pain! j’attends que les autres en prennent, j’agite les bras, je dis que c’est la faute au gouvernement, j’attends que les mentalités évoluent.
Ca s’appelle de l’IDEOLOGIE.
Ma question est toute simple : que fait CONCRETEMENT notre municipalité pour que personne ne se retrouve avec ses meubles sur le trottoir?
Tant qu’un l’arrêté anti-expulsion n’est pas cassé par le tribunal administratif, il est valable. C’est à dire que l’expulsion ne peut avoir lieu en théorie. Malheureusement le respect de la loi s’applique rarement pour les plus faibles. Et ce n’est pas la famille expulsée qui à les moyens de se payer un avocat pour suspendre l’expulsion qui reprendra une fois que le tribunal aura tranché.
Il est évident que s’il n’y a que le Maire de Vénissieux qui prend de tels arrêtés, il sera difficile de faire évoluer les mentalités et d’espérer qu’un jour il soit validé. Par contre si d’autres Maires emboîtaient le pas par centaines, cela obligerait les politiques à se pencher sur la question. Mais ailleurs la propriété privée est plus importante que le droit des hommes d’avoir un toit en toute circonstance.
Monsieur le Président de la SACOVIV peut-il préciser combien d’expulsions ont été réalisées par ce satellite municipal sur les 5 dernières années, et de combien de concours de la force publique la SACOVIV dispose pour expulser cette année.
Car malgré les arrêtés anti expulsion, il semble que la SACOVIV n’a jamais cessé d’expulser, sauf évidemment en période pré-électorale.
@Ridfa ton commentaire m’a fait trop rire. Ceci dit, tu as entierement raison
si les cocos faisaint paraitres un arreté anti connerie ils se feraient expulser de la ville dans la minute
me picard en vampire de la misere ce nourissant comme tous bon cocos des malheurs des autres pendant qu’ils se goinfrent sur notre dos
Effectivement, j’ai été scandalisée par l’article d’Expression « Une famille expulsée malgré les arrêtés d’interdiction du maire ».
1) Je ne connais pas l’histoire, mais comment peut-on en arriver là? Il n’y a pas de services sociaux à Vénissieux?
2) Je suis ulcérée d’être prise pour une imbécile. Comment Madame Picard peut-elle nous faire croire que ses arrêtés sont plus forts que la loi?
Elle n’a pas encore osé les arrêtés anti-licenciements mais comme la misère est son fond de commerce, ça ne devrait pas tarder!