Dans une récente affaire à Vénissieux dévoilée par LyonMag, une agente de la médiathèque a portant plainte contre un de ses collègues, l’accusant d’avoir uriné dans sa gourde. Les faits, survenus le vendredi 3 novembre, ont conduit la plaignante à signaler l’incident au commissariat le lendemain.
Selon l’article du Progrès, la plaignante n’était pas en mesure de désigner un suspect lors de son dépôt de plainte, ce qui complique la tâche des policiers.
Toujours selon l’article, il est essentiel de noter qu’aucun lien n’a été établi entre cet incident et les événements internationaux, tels que ceux se déroulant à Gaza. Le Progrès rapporte que ni des propos antisémites ni des actes ou menaces basés sur la religion de la plaignante n’ont été recensés. Cette clarification éloigne l’affaire de tout contexte international ou discriminatoire.
Interrogée par Le Progrès, la maire communiste de Vénissieux a confirmé qu’un agent de la médiathèque fait bien l’objet d’une procédure administrative, mais qu’elle n’a aucun lien avec l’affaire en question. Bien que le fonctionnaire n’ait pas été suspendu, il est actuellement soumis à des mesures conservatoires. La maire a souligné qu’aucune sanction comme une mise à pied, n’a été imposée à ce jour, et que l’enquête administrative est en cours. Il faut préciser que la suspension de fonctions est une mesure conservatoire et provisoire, prévue par l’article 43 du décret du 17 janvier 1986. Elle permet, dans l’attente d’un jugement pénal ou du prononcé d’une sanction à son encontre, d’écarter l’agent du service, s’il a commis une faute grave ou une infraction pénale de droit commun
Cette affaire à Vénissieux suscite des interrogations quant à la sécurité et à l’environnement de travail au sein de la médiathèque. Les autorités locales assurent qu’une enquête approfondie sera menée et des mesures seront prises en temps voulu, soulignant l’importance de la protection des droits de tous les employés.
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