L’inauguration officielle de l’épicerie solidaire a eu lieu grâce à l’association Vénissieux Solidarité Culturelle. Cette épicerie est destiné a aider les gens et à leur fournir une aide alimentaire tout en favorisant un accompagnement social. Un certain nombre d’élus étaient présent à l’exception des élus communistes qui n’ont pas trouvé l’utilité de participer. Pour en savoir un peu plus sur cette association vous pouvez lire l’article du Progrès du 21 décembre 2011, qui explique le parcours et l’initiative de cette équipe composée d’une quinzaine de personnes bénévole.
Comment expliquer l’absence des élus communistes. Mr Thiviller chargé de l’urbanisme (décidément il est partout) juge que le projet est insuffisamment solide donc d’après lui peu fiable. Pourtant l’association a posés plusieurs demande de subvention dans le cadre du CUCS (Contrat Urbain de Cohésion Social) et toutes ont été refusé par l’équipe municipale en place. Mais les élus cocos se flattent d’avoir versé 2 200 euros au titre de l’atelier cuisine. Ah ouais, chouette. Mr Thiviller et la plupart des élus communistes prétendent que ce projet réclame des moyens financiers importants et que les restos du coeur et le Secours Populaire sont largement suffisant. J’oubliais notre pauvre commune n’a plus d’argent pour les associations qui ne se sont pas de la même pensée idéologique. Mais pourtant la ville gaspille énormément d’argent, prenons qu’un seul exemple, dans le quartier le Couloud le réaménagement d’un parking a coûté 390 000 euros, alors que ce même parking est à moitié vidé tout au long de l’année. C’est bien se moquer des vénissians.
C’ est ce qui est arrivé aux associations des années 90 et qui malheureusement
ont disparue,le manque de soutien. Et la , on comprend la realité des discours.
Soyez exigeant, ne travaillez pas avec des budgets non ficelets et ils vont
vous usez à l’usure soyez tenace et mettez les venissians face à eux.
Malheureusement la mairie ne vous proposera pas d’ un contrat pluriannuel
avec des objectifs.
Ils raillent ses jeunes , content d’ eux qu’ils échouent dans leurs actions et
oublient leurs erreurs qui coutent bien plus cher a la collectivité.
Autrement bonnes chances et bonnes réussites.