Certains de nos élus auraient-ils la dent dure envers certains organes de presse, car si c’est le cas il est bien loin ou Michèle Picard, maire communiste de Vénissieux déclarait lors des voeux 2018 à la presse lyonnaise :
Je suis convaincue, vous le savez, que les journalistes ont un rôle-clé à jouer, dans le renouveau et le renforcement de la démocratie de proximité. (Michèle Picard)
Lors de la visite sur le chantier du Puisoz, en tant que journaliste indépendant du journal satirique, Les Potins d’Angèle, l’auteur de l’article nous livre son impression :
Michèle Picard accompagnée de ses propres médias indépendants qui la chroniquent fidèlement, David Kimelfeld qui à défaut de porter le chapeau veut bien porter le casque de chantier….
Tiens je me demande bien quels sont les médias indépendants, qui chroniquent fidèlement !!! Chut, j’ai ma petite idée.
Tout en continuant leur visite, tout ce beau petit monde, portant casque blanc et gilet jaune se rend sur le chantier d’un des deux magasins dont l’ouverture est prévue pour 2019.
Le journaliste, nous livre une petite anecdote, où l’on constate qu’une certaine presse n’est pas la bienvenue et guère appréciée par la première adjointe communiste de la ville de Vénissieux.
Alors qu’on s’avance, pour saluer avec le respect qui lui est dû, la première adjointe de la mairie de Vénissieux, au lieu d’une main tendue et d’un sourire avenant, c’est une avanie* qu’on essuie, un camouflet, un outrage, une rebuffade. « Non, monsieur, on ne vous saluera pas. Car vous écrivez des choses ignobles dans un certain journal. Vous osez vous en prendre à un homme à terre ».
*Avanie : Traitement humiliant, affront public.
Oups, on peut imaginer que la première adjointe et tout le staff de l’équipe municipale, n’apprécie guère certains articles parus dans cette presse, mais alors, on peut se dire, mais où est donc passé le « On est tous Charlie » à moins que cette élue de la république n’apprécie guère la tournure de certains titres publiés dans ce canard satirique.
Allons Mme la première adjointe, ranger votre rancoeur dans les tiroirs et soyez fair-play avec les journalistes même si leurs articles vous déplaisent.
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