Gabriel Attal a suscité une controverse à quelques jours de la rentrée en évoquant l’interdiction de l’Abaya dans les écoles, collèges et lycées publics, laissant de côté d’autres problématiques scolaires. En réaction, l’élu vénissian a exprimé sa position à travers une chronique publiée sur le site de LyonMag – J’ai fait un rêve – .
Mettant de côté ses critiques envers Mme Picard maire communiste de Vénissieux, et M Porret (EELV), adjoint au maire en charge des commerce, cette chronique sur la mixité scolaire exprime un profond désir de justice et d’égalité en France, en s’appuyant sur des citations de Martin Luther King pour rappeler que la liberté doit être exigée par les opprimés. L’auteur rêve d’une France unie, où les enfants issus de milieux défavorisés ont la possibilité de s’élever socialement et de forger un avenir meilleur. Ils souhaitent que la mixité sociale dans les écoles devienne une réalité, permettant ainsi à tous les enfants de côtoyer la diversité du pays.
Cependant, l’auteur critique le personnel politique français pour son manque de volonté à mettre en place des politiques favorisant la mixité sociale à l’école. Ils dénoncent certaines propositions, telles que l’uniforme pour les enfants des quartiers prioritaires et les restrictions vestimentaires pour les jeunes filles des banlieues, comme des mesures régressives qui ne font que renforcer les divisions sociales. Ils considèrent que de telles mesures, sous prétexte de la laïcité, ne servent qu’à apaiser les nostalgiques d’une époque révolue.
Enfin, l’auteur critique également le manque de leaders politiques progressistes capables de faire avancer le débat sur la mixité sociale en France, à la fois à gauche et à droite. Ils concluent en exprimant leur désillusion face à la situation politique actuelle et en appelant à un changement pour lutter contre les inégalités sociales.
En somme, cette chronique met en lumière le besoin de lutter pour la liberté et l’égalité en France, en particulier en ce qui concerne la mixité sociale à l’école, tout en dénonçant les politiques actuelles qu’ils estiment insuffisantes pour atteindre cet objectif.
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