Lors des premiers conseils municipaux, le plus important groupe d’opposition Nous, Vénissieux, était resté assez silencieux, certainement préparait-il une opposition « intelligente et constructive », va savoir comme dirait l’autre !!!.
A l’occasion du conseil municipal du 15 juillet, certains élus-es de ce groupe ont pris la parole, voir même un peu trop fort puisque Mme Picard (PCF) a fait une remarque sur le ton élevé de Mme Fazia Ouatah, jusqu’à demander à ces services de baisser le volume du micro. La conseillère d’opposition s’en est excusée mettant en avant son manque d’expérience, jusqu’à allant dire « désolé je suis novice …». Allons Mme Ouatah faudrait pas rendre nos élus-es sourds-es, d’autant plus que certains d’entre eux ne sont plus du tout jeune et risque de finir sourd, voire, même victime d’acouphène.
Allez soyons un peu sérieux, car le début de ce conseil partait sur un bon pied, et comme le veut le protocole, la plus jeune des élues fait l’appel comme à l’école. Et là, Mme le maire a reproché à Mme Estelle Sophia Jellad d’avoir mal prononcé le nom de M. Karim Seghier, conseiller municipal de la majorité communiste :
Soit, une petite altercation sur les noms, c’est super intéressant, Mme le maire ne connait-elle pas le diction « l’erreur est humaine » et l’intervention du maire était-elle vraiment utile.
Mais une autre intervention fut aussi remarquée lors des rapports N°8 et 9 où il était question des indemnités des élus de la majorité. Le public et ceux qui suivaient le conseil municipal sur la chaîne YouTube de la ville, n’ont certainement rien compris, sur le montant exact de ces indemnités.
L’intervention de M. Yalcin Ayvali n’a d’ailleurs guère éclairé notre lanterne, puisque ni Mme le maire, ni le groupe Nous, Vénissieux, par la voix de M. Ayvali, n’ont pu nous donner le montant en euros des indemnités de nos élus de la majorité. On se demande si tous ces élus-es de la majorité ou pas savent faire un calcul de pourcentage. Oula calmez-vous, c’est de l’humour.
Lors de la campagne électorale, Christophe Girard (Divers droite) semblait partir en guerre contre la gestion communiste, mais lui aussi a été muet sur ces deux rapports, comme la grande muette.
Il faudra attendre le Conseil municipal de la rentrée, pour savoir sur quel pied va danser le groupe Nous, Vénissieux, en espérant que le chef d’orchestre n’est pas M. Blein qui a préféré démissionner pour retrouver le siège de conseiller métropolitain.
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