Décidément, pour une première magistrate, elle s’en mêle les pinceaux. Dernièrement plus précisément au début du moi de Mai (d’après l’article du Progrès), elle avait précisé que cette taxe « représente la moitié des impôts versés chaque année par les habitants ». Ce qui est et vous serez d’accord pas très clair. Et là oups par magie, et pour préciser la situation le Directeur Général des Services monta au créneau pour apporter des précisions en expliquant au journaliste du Progrès que cette taxe représentait deux points de fiscalité soit 500 000 euros par an. Et là patatrac, Mme le Maire n’est plus d’accord avec son DGS (Directeur Général des Services) et elle aussi se mit à rectifier en précisant « cette taxe représente un demi-points de fiscalité sur les spectacles soit 125 000 euros« . Bon là on ne comprend plus rien.
Ce qui a poussé Mme Sandrine Picot (du groupe PS) à sortir ses crocs en demandant lors du conseil municipal du 19 mai 2014, des clarifications à Mme Le Maire concernant les sommes indiquées dans la presse.
Mais ou est donc passé l’adjoint aux finances et à la culture Mr Braiki pour nous donner des précisions, car il est concerné à ma connaissance par la fiscalité et la culture ?
Bref, en fin de compte, le journaliste du Progrès a interrogé Mr Yann Roubert, président du LOU, qui précise que cette taxe pour les spectacle s »élèvera pour cette année à 160 000 euros, en rajoutant la taxe foncière et publicité, on atteint une somme de 220 000 euros.
On voit bien le cafouillage des responsables et élus de la ville.
Vous pouvez lire l’intégralité de l’article dans la page Lyon EST du Progrès en date du mercredi 21 mai 2014 ou en en ligne sur le site du journal Le Progrès
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