Depuis plus de 10 ans, c’est la même rengaine, Michèle Picard, maire communiste de Vénissieux, publie des arrêtés, et le Préfet saisi le tribunal administratif, qui suspend les arrêtés de l’élue communiste.
Le tribunal n’a pas pris en compte la déclaration de l’élue vénissiane, qui cette fois-ci a mis la crise sanitaire en avant pour justifier les arrêtés anti expulsions :
« Depuis plus d’un an et demi, le climat anxiogène causé par la COVID, a fragilisé la population,e toute atteinte au logement peut entraîner, pour des familles déjà fragilisées par une situation sociale difficile, une véritable rupture psychologique pouvant provoquer des drames humains, comme nous l’avons vécu en 2013 ».
Les arguments avancés par l’élue communiste, n’ont pas convaincu le tribunal, et la justice a donc décidé de supprimer les arrêtes du maire de Vénissieux.
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