Les Assemblées Générales défilent et se ressemblent, après on se demande pourquoi les gens se lassent de ce genre de réunions publiques organisées par la municipalité communiste.
Récemment, l’Assemblée Générale de Moulin à Vent, s’est déroulée comme à son habitude avec une présentation que certains considèrent comme de la propagande et en fait les personnes attendaient impatiemment le jeu des questions réponses.
Pour une fois la salle était bien remplie mais non pas pour féliciter les actions de la mairie mais surtout pour une fois de plus se plaindre de la situation de leur quartier qui selon eux ne va pas en s’améliorant. Présidée par Sandrine Picot (ex socialiste) qui a rejoint la majorité communiste en 2014, et avec la présence de Michèle Picard, maire communiste de Vénissieux, elles ont dû faire face à de nombreuses questions sur la sécurité et l’incivilité.
Face à l’insécurité routière, face à l’incivilité qui ne cessent de croître, Michèle Picard, qui a en charge la délégation de la sécurité, avait comme argument, toujours les mêmes réponses, appelez le TOP (Office Publique de la Tranquillité) tout en annonçant le chiffre de la vidéo verbalisation.
Concernant les squats dans les allées au niveau de la résidence Viviani, le nouveau commissaire nous précise que « ce problème est mineur. C’est difficile de verbaliser quelqu’un qui demeure dans l’allée » pourtant il me semble que l’article de loi est bien précise :
« l’article L162-2 du Code de la construction et de la propriété, prévoit que les forces de l’ordre peuvent être contactées en cas de problème dans les parties communes d’un immeuble. Précisément, selon l’article de loi, « les propriétaires ou exploitants d’immeubles à usage d’habitation ou leurs représentants (…) peuvent (…), en cas d’occupation des espaces communs du bâti (…), faire appel à la Police ou à la Gendarmerie Nationales pour rétablir la jouissance paisible des lieux ». »
Les habitants n’ont certainement pas dû apprécié la remarque du représentant des forces de l’ordre. Quant au bailleur Alliade et Lyon Métropoloe Habitat, ils rappellent que toutes les six semaines une réunions a lieu avec la municipalité, la police municipale et municipale afin de trouver des solutions
Bon, et bien depuis le temps qu’ils se réunissent les habitants n’ont pas l’impression que des solutions ont été apportées.
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