Cette fois ci, pas de président, pas de premier ministre mais encore Olivier Véran, venu en face des caméras pour nous donner les dernières infos sur la Covid-19.
Le ministre, nous a encore sorti une nouvelle mesure concernant le temps d’isolement. À partir de lundi, les patients positifs devront s’isoler pour une période non pas de 7 jours mais de 10 jours et pour les cas contacts le délai reste de six jours.
Selon le ministre, le nombre de cas des variants a incité le gouvernement à prendre cette décision. Selon le ministre à ce jour, 36% des cas de Covid-19 en France sont dus au variant britannique et 5% aux autres variants,
Alors que d’autres vaccins commencent à faire leur apparition, le monsieur vaccin du gouvernement a déclaré, qu’il n’y avait pas de vaccin de seconde zone. Il fallait bien ça pour rassurer les français, qui pour certains restent méfiants. Le ministre a aussi annoncé que près de 30.000 médecins généralistes se sont déjà portés volontaires pour vacciner leurs patients âgées de 50 à 64 ans » contre le Covid-19, « lorsqu’ils ont des comorbidités ».
On apprend aussi par le biais de plusieurs épidémiologistes dont Mr Didier Pittet , on sera sorti de cette pandémie qu’à partir de l’été 2022.
.@DidierPittet prévoit un bilan final à l’été 2022: « Pendant encore 2 mois , il va falloir passer [l’hiver] et on pourra faire un premier bilan à l’été [2021] (…) À l’automne, il y aura d’autres variants, ce ne sera pas un automne normal » #le79Inter pic.twitter.com/UdAIa62rOU
— France Inter (@franceinter) February 18, 2021
Selon Sante Publique France, à ce jour un peu plus d’un million de Français (1 040 773 précisément) ont désormais reçu deux doses de vaccin contre le Covid-19.
Concernant les festivals d’été, le gouvernement prévoit de les ouvrir mais en respectant un protocole sanitaire strict. Le Syndicat des musiques actuelles annonce notamment ce jeudi à l’AFP qu’une jauge de 5000 personnes assises maximum sera mise en place.
Tout çà pour enfin nous dire :
« L’heure n’est pas encore au relâchement de nos efforts, encore moins au relâchement de notre vigilance collective ». Nous ne sommes jamais vraiment sortis de la deuxième vague. Rien ne serait pire que de lever les contraintes au mauvais moment, trop tôt. Nous devons encore tenir ensemble, sortir de la zone de danger (…) la partie n’est pas encore gagnée »
Et oui la partie n’est pas encore gagnée, encore faut-il se donner les moyens de la gagner.
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