Des élus instables

Les élus sont choisis en fonction de leur participation dans les différents partis, Mr BenKhelifa (adjoint) élu ps, Mr Kessi (conseiller municipal) du PC, Mr BenMabrouk (conseiller municipal) de l’opposition, Mr Bourmetit (conseiller municipal) du Parti de gauche et il y en a encore d’autres. Pourquoi parler de ces personnes. Tout d’abord Mr BenKhélifa adjoint PS est souvent en désaccord avec sa propre majorité et parfois avec son parti, et pourtant il reste encore adjoint à la ville, Mr Boumertit qui représente le Parti de gauche est convaincu de soutenir le bon candidat et à mon avis ce sera le prochain candidat au législative de 2012 pour la 14ème circonscription. Mr Benmabrouk vient de quitter le groupe de Christophe Girard et se retrouve seul, surement à la recherche d’un nouveau parti ou d’un nouveau clan. Mr Kessi, il a carrément décider de quitter le groupe PC suite aux récentes déclarations de André Gérin sur l’immigration, pourtant il est toujours conseiller municipal et président de la mission locale. Il doit régner une drôle d’ambiance à la mairie, d’un côté le clan dur avec Picard, Falconnet, Peytavin, Ebersviller, Thivillier et Gérin et de l’autre une nouvelle génération d’élus qui se cherchent encore et qui tourne au moindre coup de vent. Tout ceci a l’air bien compliqué, des querelles internes, des clans qui se créent etc etc. Il est clair que certains se préparent pour l’élection législative de 2012 et d’autres pour la municipale de 2014, les places sont chères et le combat va être difficile.

Pour en finir, je tenais à préciser que mon enquête sur la mission locale et le TOP continue à faire son petit chemin, que je surveille tout cela de très près, et que j’essaye d’avoir des infos afin de faire un article qui fera sursauter beaucoup de personnes.

2 Commentaires

  1. Oh que oui ! Des élus (es) instables à l’image de ce qu’ils représentent, c’est-à-dire la pensée du vide !

    Des élus(es) divisés qui cultivent l’ambigüité en permanence, des postures « politiques » éparpillées qui permet à la foi de travailler dans le flou pour mieux tirer son épingle du jeu. Des attitudes qui reflètent une souffrance et un vide intérieur. Ils pratiquent la politique des coups bas, la politique des petites « interventionnettes », la politique de la chaise vide. . . Ils ne produisent rien et ne font que des dégâts. Il suffit de voir sur Vénissieux leur bilan, 30 ans après la marche. Ils sont incapables de se réunir de manière constructive, de créer de la pensée, des concepts et des outils de travail qui serviraient leurs causes légitimes et respectives comme le font d’autres réseaux d’influences identitaires qui se cachent derrière l’universalisme et la laïcité. Des concepts qui sont un leurre pour mieux servir leurs intérêts en écartant toutes contestations structurelles et substantielles.
    La clarté et la liberté ont un prix, elles reflètent l’attitude réflexive de ceux qui souhaitent relever le débat. La vertu de l’honnêteté ne se décrète pas, un costume ne suffit pas ! La politique du moi, des petits fours et des projecteurs . . . c’est de l’errance politique qui relève de la psychologie identitaire et non de la politique. Cela n’a rien à faire dans l’espace public. Nous sommes très loin de Fidèle CASTRO, de Che GUEVARRA, de Maximilien de ROBESPIERRE, Hugo CHAVEZ et bien d’autres.
    Des élus (es) d’enfants de colonisés qui font le JE dans le JEU du colonisateur et en l’occurrence celui de André GERIN qui s’est navigué dans l’eau trouble vu son expérience politique et les pantins en mode off qu’il a en face, à la recherche d’un regard et d’une tape sur l’épaule. En cas de contestation, il enverra ses chiens de garde qui feront le travail à sa place. Comme disait mon père, méfie toi du faible !

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