A priori, ils sont censés être au courant de tout ce qu’il se passe sur la commune, que ce soit sur le plan économique, écologique, social ou autres. Mais lorsque l’on lit l’article du Progrès en date du jeudi 21 avril 2016, y a de quoi se poser des questions sur la circulation de l’information.
Dans le cadre des visites de quartier, les élus se sont déplacés au centre commercial La Rotonde. Il y a quelques mois la boulangerie de La Rodonte a dû fermer ses portes. La fermetures administrative a été prononcée pour travail illégal et mise en liquidation judiciaire. Une autre boulangerie située à l’angle du boulevard Croizat a aussi fermé pour les mêmes raisons. Ces deux enseignes étaient détenus par le même propriétaire.
Depuis la fermeture de la boulangerie du centre commercial La Rotonde, c’était le boucher qui assurait un dépôt de pain.
La situation a changé puisque selon l’article une nouvelle boulangerie vient d’ouvrir, située entre le tabac-presse et la boucherie. Un énième snack pourrait prochainement s’installer (Le Progrès)
Et c’est là qu’intervient mon interrogation sur l’information des élus. Selon l’article, il semblerait qu’ils n’étaient pas informés de la fermeture du salon de coiffure et de l’ouverture d’une nouvelle boulangerie. Surprenant, n’est-ce pas ?
Des mouvements dont n’était pas informée la petite délégation composée d’élus, de techniciens de la ville ainsi que de Béatrice Baronnier représentante de Nexity, syndic du centre commercial qui fonctionne sous le régime de la copropriété (sept copropriétaires et dix lots). (Le Progres)
Les élus présents : Marie-Christine Burricant (PCF), conseillère municipale et présidente du conseil de quartier A. France/P. Langevin et Sandrine Perrier (EELV) adjointe au maire.
Je peux vous dire que je suis resté sans voix, lorsque j’ai appris que les élus n’étaient pas informés. Pourtant c’est leur job de savoir et de connaître ce qu’il se passe dans leur ville, surtout au niveau économique. Je suis même étonné que l’adjoint à l’emploi et aux commerces soit absent de cette visite, alors que c’est son domaine, je dirai même son job.
Espérons que suite à l’article du journal Le Progrès, ils seront mieux informés lors d’une prochaine visite
encore une preuve qu’ils n’en ont rien à faire de ce qu’ils considèrent comme le zoo du plateau!
Avoue administrateur, c’est une blague : t’as raté le 1er avril et tu tentes de te rattraper avec 3 semaines de retard !
C’était comme une sorte de « safari », de classe de découverte …..
Il fallait bien les aérer avant de les rentrer chez eux !