L’adjoint au logement et au développement durable se demande s’il faut punir les incivilités. Et c’est à l’occasion de la semaine de propreté qu’il a décidé de prendre sa plume pour donner son avis.
Dans un premier, sous forme d’accusation cachée, il dénonce que les bailleurs n’aient pas été aussi présent.
Il faut noter cependant que les bailleurs sociaux, qui ont été dans le passé des partenaires importants de cette semaine de la propreté, ne sont plus aussi présents, alors qu’ils sont des acteurs essentiels de cet enjeu du quotidien, qui commence en bas de chez soi, souvent autour des points de collecte des déchets… (Pierre Alain Millet)
Les nouveaux délégués de quartier en prennent aussi pour leur grade, puisqu’il annonce que leur présence était moins visible.
Alors que faire contre ces incivilités liés à la propreté, et selon l’élu communiste, que dans le cadre de la vidéosurveillance la loi ne permet pas aux villes « de mettre des PV relevant du code de l’environnement, notamment pour les dépôts sauvages »
Pourtant dans plusieurs villes de France, des actions sont menées sur certaines les villes qui veulent lutter contre les incivilités, en appliquant comme solution : des amendes. M. Millet nous parle d’organiser un éventuel débat public.
A Paris la ville a décidé de renforcer les moyens et le service, en réprimant l’incivisme. En 2017, face à la saleté croissante de la ville, la mairie de Paris tape de plus en plus au portefeuille des Parisiens indélicats. Anne Hidalgo a révélé lundi que le nombre d’amendes dressées par les agents municipaux a ainsi bondi de 60% en un trimestre, à 35.000 PV (Les Echos).
Donc si notre adjoint au logement et au développement durable préfère organiser des débats publics, et bien je pense qu’à titre personnel, peu de monde se déplacera, et d’ailleurs cette semaine de la propreté n’a pas été un gros succès hormis la collecte de vêtements qui selon son article se monte à 2 tonnes.
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