Alors que la gauche essaye de se trouver des points communs et que les communistes demandent un large rassemblement des forces de gauche, et que tout ce beau monde s’en prend au député de la 14ème circonscription, celui-ci a décidé de répondre via un communiqué de presse.
Alors qu’il n’a pas annoncé sa candidature pour les municipales de 2020, plusieurs voix de la majorité, tous partis confondus, ont pris comme cible Yves Blein qui a déjà fort à faire à expliquer la politique du gouvernement Macron.
Le député revient sur l’analyse effectuée par les communistes vénissians juste après les élections européennes, car il faut préciser qu’au niveau national, le parti communiste français a reçu une sacré claque, je dirai même une belle défaite, à croire que plus personne ne croit encore à ce parti qui n’a guère évolué hormis avoir changé son logo. Hors ce n’est pas avec un logo que l’on attrape les mouches ahahah
Plus sérieusement on se demande si les communistes vénissians ont encore des projets en tête, car depuis plus 80 ans qu’ils sont au pouvoir à Vénissieux, on voit bien que leur électorat s’effrite au détriment de la France Insoumise, qui depuis les dernières élections fait un bon score, mais ce n’est pas pour autant que ses représentants locaux doivent se reposer sur leurs lauriers, car il ne faut pas oublier, qu’ils font encore partie de la majorité menée par Michèle Picard, et que depuis 2014, ils ne se sont pratiquement jamais prononcés sur la politique menée par les communistes vénissians.
Et c’est là que semble intervenir M. Blein, qui demande aux communistes de cesser d’additionner les torchons et les serviettes mais de se présenter avec un vrai projet pour les vénissians car il part du principe que les électeurs ne sont pas des moutons, et qu’ils ne vont pas déposer un bulletin de vote uniquement sur de belles phrases vieillottes que nous ressortent à chaque fois les communistes et leurs colistiers.
Alors Blein candidat ou pas, pour les communistes, La France Insoumise, c’est certainement le cas, pour le député, il maintient qu’il reste avant un élu national, et que la question de sa candidature se pose pas aujourd’hui, à moins qu’un large rassemblement se réalise pour faire changer la donne.
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