En fait, le vrai terme est Police de Sécurité du Quotidien (P.S.Q) qui est le nom donné à ce dispositif qui verra l’effectif de la police nationale augmenté de 20 à 30 policiers supplémentaires.
Lors de l’Assemblée Générale de quartier de Max Barel / Charréard, Michèle Picard, maire communiste de Vénissieux a déclaré que la ville de Vénissieux avait fait une demande en ce sens afin que la commune fasse partie de ce dispositif, mis en place par le ministère de l’Intérieur dans certains quartiers difficiles.
Ce qu’oublie de dire Mme le maire, c’est que le groupe des élus socialistes et républicains avait pris l’initiative de contacter Gérard Collomb qui était ministre de l’intérieur.
Face aux mécontentements des habitants, le commandant de police a précisé que grâce à ce dispositif, il y aurait une montée en puissance des investigations sur la commune.
Bien évidemment, le groupe des élus socialistes et républicains, a tout de suite publié sur les réseaux sociaux, partant du principe que s’il n’avait pas fait cette démarche pour que Vénissieux fasse partie de cette expérimentation, on aurait loupé le train
« Heureusement que le groupe politique a fait cette demande d’expérimentation au ministre de l’Intérieur sinon nous allions encore une fois rester en carence d’action municipale ».
Et le groupe d’opposants rajoute même qu’il aurait dû faire la demande pour la dotation d’investissement local (DSIL) car il semblerait que la ville aurait oublié de le faire.
On attend toujours la réponse de Michèle Picard, maire communiste de Vénissieux, sur cet éventuel oubli.
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