4 929 900 euros va être distribué comme acompte aux associations : voici le détail d’après les sources du Progrès. Ce ne sont que des acomptes, il faudra attendre encore un peu pour avoir les sommes totales versées aux différentes associations de Vénissieux. Dans ce domaine aussi, tout n’est pas très clair.
Pour les associations de droit public
Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) : 1.2 millions d’euros
Régie de restauration scolaire : 1 million tout rond
Association pour la promotion des activités socio-éducative (APASEV) : 800 000 euros
Régie autonome du théâtre : 300 000 euros
Régie autonome du journal Expressions : 265 000 euros
Pour les associations de droit privé
Office municipal des sport (OMS) : 150 000 euros
Centre social du Moulin à Vent : 110 000 euros
Centre associatif Boris Vian : 80 000 euros
Centre social Eugénie Cotton : 80 000 euros
Mission locale : 80 000 euros
AS Minguettes : 75 000 euros
MJC : 75 000 euros
Centre social Parilly : 72 500 euros
Association Bizarre : 50 000 euros
Vénissieux Handball : 40 000 euros
Section basket de l’ALVP : 20 000 euros
Parmi ces structures, certaines ne devraient pas bénéficier de subventions.
Le dirigeant d’une de ces structures utilise l’argent des Vénissians pour financer les licenciements des salariés. Pourquoi ne pas lui demander combien lui a couté le licenciement qui a eu lieu en 2002 (avocats+indemnités) et combien va lui coûter le licenciement d’une salariée en 2011 après 23 années de fonction dans cette structure ?????? Je trouve lamentable que la Ville subventionne cette association.
Et le contribuable vénissian qu’en pense t-il ? Approuve t-il que ses impôts servent a financer de telles procédures. Même s’il ne s’agit « que » d’une subvention de 80000 € c’est déjà trop !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! L’argent du contribuable est censé servir à l’insertion des jeunes vénissians de 16/25 ans et non à payer les procédures que ce cher directeur de structure d’insertion met en place.
A mon avis, c’est aux dirigeants de structure de payer avec leurs propres deniers.
Comment peut-on penser à l’insertion des jeunes alors qu’on met à la porte des salariés parce que ces derniers ont des divergences de vues avec sa direction ?????? Pour rappel, cette salariée était déléguée du personnel et déléguée syndicale durant les 4 dernières années !
« Ce n’est pas parce que la souris est petite, qu’elle doit être l’esclave de l’éléphant »
Effectivement il y a un certain flou dans l’attribution de l’argent aux associations publics et privées. Il faut rester vigilant et demander plus de transparence, les élus de l’opposition doivent faire leur travail et dénoncer en toute objectivité les subventions, les élus de la majorité, votent sans vraiment savoir et sans se poser trop de questions, c’est pour cela que tout doit changer et demander un changement radical au sein de la ville. J’espère que ce changement se fera à la prochaine élection municipale.