Ils étaient tous là, à l’hôtel de ville de Vénissieux pour apposer leur belle signature sur le document du nouveau Contrat Local de Santé. Au côté de l’élue communiste, il y avait Marie-Dominique Benevent de la l’Association du Rhône pour l’Hygiène Mentale (ARHM), Vanina Nicoli, préfète déléguée, et Pierre Guetat, directeur départemental du Rhône et de la métropole de Lyon pour un contrat dont le but est d’améliorer l’offre de santé sur la commune.
#Santé
Engagée pour l’#accèsauxdroits & aux soins @Venissieux_ franchit une nouvelle étape essentielle pour faire face au défi de l’#accèsauxsoins
avec la signature d’un #ContratLocaldeSanté
2022-2026 @ARS_ARA_SANTE@prefetrhone @grandlyon @FondationARHM et ses partenaires #CLS pic.twitter.com/ag6qPl44Um— Michèle Picard (@MichelePicardVx) July 12, 2022
Le but de cette nouvelle convention étant de répondre aux problématiques de santé physique ou psychique de tous les habitants et ceci grâce à un plan d’action basé sur quatre axes et sur un contrat de cinq ans.
Michèle Picard a déclaré :
« Avec les différentes étapes de confinements, on s’est rendu compte qu’aujourd’hui il y a un besoin qui s’est accru, y compris sur des parties de la population dont on n’imaginait pas qu’elle ait besoin d’un soutien vigoureux. Je pense notamment aux jeunes et aux étudiants. Au départ, nous ne pensions pas que ces personnes-là pouvaient avoir besoin d’aides, mais, avec la covid, les choses se sont avérées beaucoup plus claire. »
L’élue communiste, qui est aussi vice-présidente à la Métropole, pourrait-elle nous expliquer pourquoi, la Métropole avec l’accord de la municipalité a préempté un local, que devait acquérir M Benmoussa, pour y installer un cabinet d’infirmier et ou éventuellement un médecin.
Mme Picard constate que les médecins, préfèrent se regrouper avec d’autres professionnels, Ok, mais est-ce la raison de préempter ce local à vocation médicale, d’autant plus que l’élu de l’opposition a porté l’affaire en passant par une requête enregistrée le 17 juin 2022, devant le juge des référés qui a annoncé le mercredi 29 juin, la suspension de l’exécution de l’arrêté du 19 mai 2022 par lequel le président de la métropole de Lyon a fait usage du droit de préemption sur le bien situé 47 avenue Jean Jaurès à Vénissieux, jusqu’à ce qu’il soit statué au fond sur la légalité de cette décision.
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