Le 11 novembre 2016, le jeune Marin a été violemment agressé pour s’être interposé contre des individus qui reprochaient à un couple de s’embrasser dans la rue. Opéré plusieurs fois du cerveau, et plusieurs semaines dans le coma, le Dr Afif, neurochirurgien à l’hôpital Neurologique de Lyon, lui a ôter une partie de la boite crânienne afin d’empêcher un hématome de progresser. S’en est suivi une longue rééducation.
Aujourd’hui il en garde quelques graves séquelles. L’affaire avait bien évidemment ému toute la France. Une page FaceBook avait été créée avec des milliers d’abonnés et son entourage a créé l’association « La tête haute je soutiens Marin » afin de récolter des dons pour pouvoir financer les longs et très coûteux traitements du jeune homme.
En avril 2018, il avait été reçu par le pape François, et en 2019, la Légion d’Honneur lui a été accordé par le Président Macron.
Lors du procès, les débats du procès se sont tenus à huis clos, l’accusé étant âgé de 17 ans au moment des faits et la cour d’assise des mineurs de Lyon a condamné son agresseur à sept ans de prison.
Selon plusieurs informations de la presse, son agresseur aurait obtenu une libération conditionnelle et pourrait être libéré. Le parquet a fait appel de cette décision.
Pour la famille, c’est l’incompréhension
Article sur le site Le Parisien → L’agresseur de Marin bientôt remis en liberté ? Sa famille dans «l’incompréhension»
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