Qui s’attendait que le journal Le Times fasse un article sur les banlieues françaises tout en citant la ville de Vénissieux. Et on parle de nous, non pas dans le bons sens du poil, bien au contraire puisque cet article fait référence aux violences subies par les pompiers dans les quartiers populaires.
Extrait de l’article du Times → Fire and ambulance crews called to tough estates are greeted with insults, obstruction and even petrol bombs
Nous sommes bombardés comme ils ont l’habitude de lapider au Moyen Age :
Cette année, ils ont même commencé à lancer des cocktails Molotov. Je ne peux vraiment pas comprendre pourquoi quelqu’un ferait ça.
Quand William Chavant, 45 ans, et son équipe de pompiers ont été appelés le mois dernier à trois voitures allumées sur un domaine à Vénissieux, une autre banlieue de Lyon, il a pris la précaution de demander une escorte policière. Néanmoins, l’équipage s’est retrouvé sous une grêle de pierres suivie d’un cocktail Molotov, qui a explosé par le moteur :
Je devais sortir de là le plus vite possible.
L’incident l’a rendu plus nerveux que jamais au sujet des domaines qu’il a décrits comme un « environnement hostile ». Quand son équipe éteint un feu sous un haut bâtiment, un membre surveille maintenant les objets qui pourraient être lancés d’une fenêtre ou d’un toit (même une machine à laver a été jetée sur un bâtiment). M. Chavant a déclaré que même lorsqu’il est arrivé dans son ambulance, il a fait face à une obstruction.
Quand nous devons faire face à une crise cardiaque au 15 ème étage, les gens ne veulent pas nous laisser l’ascenseur. Ils nous disent: « Nous étions les premiers ici », et s’arrêtent à tous les étages en montant. C’est déprimant. Les pompiers ont toujours été populaires.
Face aux violences constatées envers les pompiers, ceux-ci demandent des moyens supplémentaires ainsi que des caméras embarquées. La solution ne viendra pas uniquement que par les moyens matériels, mais une vraie prise de conscience de la population, afin que les « geut-apens » ne se reproduisent plus.
c’est vrai que moi aussi j’ai pas bien compris cette phrase ridicule.
les gens ne veulent pas nous laisser l’ascenseur. Ils nous disent: « Nous étions les premiers ici », et s’arrêtent à tous les étages en montant. ..c’est un cauchemar !! il y a des gens aussi bêtes ?
du grand n’importe quoi !!!! ils généralisent toujours des fait isolés ce qui se passe dans certain endroits à tout un quartier. Même les émissions qui passent en boucles à la télé depuis 2010 pour certaine émissions sont généralisés à toute les banlieues. Par contre la majorités des gens biens qui travaillent payent leur impôts éduquer leur famille vont à l’école des associations qui font pour les jeunes ont en parle pas.